Imprimer ses étiquettes

Les étiquettes en 2025 ressemblent fort aux étiquettes de 2024, je crois que je trouve un peu d’équilibre là dessus. Le process que ce je vais décrire est celui qui me correspond. Je vous le partage pour inspiration et amélioration.

Pour arriver au résultat final des arbres et arbustes étiquetés au champ, je passe par quelques étapes.

Je fais un ultime inventaire en été, des planches et des palettes hors sol. Pour chaque couple “espèce-variété”, j’ai un nombre de plants que je veux avec une étiquette cette année. J’imprime les étiquettes dans l’ordre d’étiquetage. À part pour la pépinière hors sol où je n’ai pas d’ordre hyper propre cette année, je veux passer seulement une fois dans mes lignes pour des raisons d’utilisation de mon temps. C’est pourquoi j’ai un “id” qui est un identifiant d’ordre et une “ligne” qui est le nom de ma planche sur mon plan.

C’est dans cet inventaire que j’ai mes données A,B, C, D du passeport phyto, c’est là que sont mes données à traiter bien normées.

Ces étapes pourraient grandement être simplifiées.

Concrêtement, dans mon premier fichier d’inventaire j’ai:

1

Pommier Vernajoux 10

Je veux dans mon fichier étiquette

1
2
3
4

Pommier Vernajoux
Pommier Vernajoux
Pommier Vernajoux
... 10 fois

Je transforme la ligne précédente en concaténant les valeurs importantes pour moi. Par exemple mon code “C” me renseigne sur la provenance du matériel végétal et l’année de production. C’est expliqué dans le billet de blog précédent.

Je passe mes données dans un template avec mes tailles de polices et autres bidouilles typographiques, sans oublier la hauteur et le calage des étiquettes

Puis j’imprime. Vous avez la marque de l’imprimante sur l’image ci-dessus. J’achète mes étiquettes chez triangle pour imprimante laser. Et ça tient bien dans le temps, au moins 2 ans. Je dois mettre une feuille à la fois, sinon ça bourre dans l’imprimante. Ça passe pour 1000 étiquettes, je pense beaucoup moins pour 10000.

Y a plus qu’à boucler tout ça!!