Mon copain le chevreuil me confirme qu’il est plus que temps de planter cette cloture ! La nuit, je capture du passage, jusqu’à trois chevreuils en même temps, renard etc.
Nous avons collectivement avec d’autres nouveaux pépinieristes collecté les greffons de pommiers. J’ai assuré en les emballant dans du papier humide, enfermés dans un sachet et au frigo. Avec une étiquette efficace et crayon papier. Je suis très contente du stockage, aucune moisissure. À voir comment mettre moins de plastique l’année prochaine, peut être jauge simplement. Mes sachets ont aussi de quoi être amplement réutilisés.
La jauge s’est remplie. Il reste carrément de la place pour l’année prochaine !
Enfin les premières plantations. J’ai décidé de greffer en place les pommiers (une fois les arbres en terre) et non sur table (plantation avec la greffe). J’avais besoin de me rassurer sur le fait que tous soient les pieds en terre rapidement.
J’aurais aimé arriver à plus anticiper et faire autrement sauf que… j’ai fini par passer un coup de rotavator au tracteur, voire deux. La saison n’était probablement pas la plus propice. Ça m’a haché menu toutes les spontannées qui vont probablement se faire un plaisir de se bouturer. Ça m’a en tout cas permis de piquetter ma micro-surface, dessiner avec des ficelles mes espaces et me promener dedans. Les plans papiers, c’est bien, mais en vrai, ça me parraît immmmmense.
Concernant la cloture, ça a pris du temps et pourtant juste 1500m2. 5 fils galvanisés electrifés à 20, 40, 60 puis 100 et 150 de mémoire.